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Comment les soins à distance fonctionnent-ils ?

Lorsqu’on s’adresse à un praticien en soins énergétiques, qu’il s’agisse de Reiki, de magnétisme ou d’autres méthodes énergétiques, il n’est pas rare que ce dernier propose des soins à distance. Si l’on peut éventuellement être ouvert aux soins réalisés en cabinet, en face à face, lorsqu’on a confiance en le praticien, il semble difficilement concevable que le thérapeute soigne à distance une personne qu’il ne voit pas, voire qu’il ne connaît même pas.

Alors, qu’en penser ?

Comment est-il possible que les soins à distance fonctionnent ? Lisez cet article pour en savoir plus.


Notions de contact et de distance : un peu de physique, quantique même


Il me semble opportun tout d’abord de parler du concept de distance.

Lorsque l'on pose les mains sur une personne, on serait tenté de croire que la distance entre la main et ladite personne est nulle. Or, à l’échelle atomique, il existe encore une distance entre les atomes qui constituent la matière de la main et celle du corps du patient. Pourquoi alors y a-t-il sensation de contact ? Ce sont les forces électrostatiques qui empêchent la main d’aller au-delà d’un certain point.


À titre de comparaison, dans un cas de contact main-corps, si les atomes avaient la taille d’une balle de golf, la distance entre ceux de la main et ceux du corps seraient éloignés d’une distance équivalente à 2 stades de foot !


Voici donc balayée notre première certitude : notre vision matérialiste de ce qu’est le contact est totalement erronée ! Grâce à nos chercheurs en physique quantique (une science éminemment universitaire !), nous savons désormais que la distance, le temps et l’espace ne sont pas des paramètres décisifs pour le transport de l’énergie et de l’information.


Explication : soient 2 particules jumelles, nommées A et B (comprendre que les particules sont liées dans leurs caractéristiques de départ). On les éloigne l’une de l’autre, et on en informe une, par exemple A (on lui apporte une nouvelle information). La seconde, B, réagit instantanément et acquiert la même information que A, alors même qu’elle en est distante et qu’il n’existe pas de “lien” entre elles. C’est ce qu’on appelle l’intrication quantique. Comme si l’information était transmise instantanément et ce, malgré la distance.


Voici une seconde certitude balayée : la distance n’est pas une limite pour l’information.



Soigner quelqu’un à l’autre bout de la terre ?


Si la distance n’est plus une limite pour l’information (et donc l’énergie), alors il semble que nous puissions en théorie obtenir les mêmes résultats, que nous soyons à 2 cm ou… à des milliers de kilomètres. En pratique, dans mes soins à distance, je constate régulièrement que la distance n’a absolument aucune influence sur ma capacité à ressentir les blocages et manques d’énergie, et à soigner.



Soigner sans connaître la personne ?


Si jusqu’ici, à l’aide de petites vulgarisations de physique, je peux donner quelques pistes pour expliquer ce qui n’est toujours pas admis par le corps médical ou scientifique, il faut bien admettre qu’en dire plus est bien difficile, car nous savons trop peu de choses sur les mécanismes sous-jacents. Il s’agit donc d’une pratique empirique, c'est-à-dire basée sur l’expérience. C’est pourquoi il n’est pas possible de présumer de l’efficacité d’un soin. Mon expérience de praticien peut me permettre de supposer, sur la base de mes ressentis, que le soin pourra fonctionner, mais je ne peux m’appuyer sur des lois et connaissances exactes qui peuvent me garantir l’efficacité du soin. En cela, mon devoir moral est de rester humble.


Malgré notre ignorance, les soins fonctionnent. Lorsque je pose l’intention de soigner telle personne, même à distance, d’envoyer de l’énergie à son foie, à ses poumons, à son cœur, je ressens le flux d’énergie à la fois dans mon corps, dans mes mains, et dans l’organe visé.

À distance, le fait de disposer du nom et du prénom de ma cible énergétique me permet d’adresser correctement le soin. Il n'est pas rare que je demande également une information supplémentaire, telle que la date de naissance ou la ville de naissance, notamment lorsque le nom et/ou le prénom sont courants. Malgré mon incapacité à expliquer les choses, je ressens la justesse de ma pratique.

Alors, loin d’espérer vous avoir convaincu.e, j’espère que vous continuerez de vous demander, avec une curiosité malicieuse : “Alors, qu’en penser ?”


Une parcelle d’inconnu puisse-t-elle toujours subsister, car elle nous laisse la possibilité de croire et de rêver.

Ancre 1
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